J’avais longtemps hésité à faire de ce podcast ma première review et puis finalement j’avais privilégié Fanm On Films uniquement par solidarité antillaise et parce que la saison 1 touchait à sa fin. Tell’Em Loren est sans conteste mon podcast préféré actuellement parce qu’il propose tout ce que j’aime : du storytelling et de la bonne musique.
Comme je suivais The Why depuis un moment, Twitter a fini par me suggérer Tell’Em Loren. Je ne m’attendais pas à retrouver le concept The Why, mais il est clair que je ne m’attendais pas à avoir un véritable coup de coeur dès les premières secondes du premier épisode.
Dans des épisodes oscillant entre 8 et 20 minutes, Loren brouille la frontière entre fiction et réalité. Dévoilant des tranches de vie, elle explore les émotions et la sensibilité humaine. A chaque mois, son thème. La nostalgie en octobre, la peur en novembre, l’hypersensibilité en janvier. La construction de soi en mars. Il ne suffit que de quelques secondes pour que sa voix me transporte dans une autre dimension.
Elle ne peut pas publier régulièrement, mais à chaque nouvel épisode, mon enthousiasme reste le même. Il m’arrive de réécouter certains épisodes, comme ça. Juste pour le plaisir. Je terminerai en saluant le travail de post-production qui révèle un sens pointu du détail et de la mise en scène. J’ai eu la chance de la rencontrer lors de l’Afrolab du 26 mai. Elle est adorable et tellement humble. Cela m’a donné encore plus envie de la soutenir.
Vous pouvez la retrouver sur Soundcloud, @tellemloren (Twitter), @tellemloren (Instagram).
2 responses to “Review Podcast #2 – Tell’Em Loren”
[…] premier Afrolab en mai, j’ai eu la chance d’assister à une présentation de Célia et Loren sur “comment faire un podcast”. Cela m’a permis d’en savoir un peu plus sur […]
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[…] actuellement, mais mon coeur bat toujours un peu plus vite quand il y a une mise à jour de @tellemloren, @lapremierepage et @kassava42. Les suivre et voir leur contenu évoluer au fil du temps est une […]
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